Adieu Japon, bonjour Chine... (12/07/09)
Adieu propreté donc, civilité, bonjour lutte de chaque instant pour gagner sa place au sein de cette fourmilière humaine. Pékin a donc été un choc, également dû à la touffeur de l air, vicié par la pollution. On ne voit pas le haut des immeubles à plus de 500 m tellement le fog est dense.
Ci-dessous, une photo de la rue Qianmen, rue entièrement reconstruite pour les JO (les futurs Champs Elysées de Pékin). Cependant, il semblerait qu'ils n'aient pas eu le temps de terminer, donc seul le haut de la rue (qui est d'une longueur infinie) est occupé par des commerces. Le reste fait un peu ville fantôme.
© Mas/Salvaggio
Notre Guest House se trouve dans une ruelle perpenduculaire, un "hutong", encore typique. Il n'y a pas eu la guerre, seulement de menus travaux...
© Mas/Salvaggio
Nous n'y restions que 2 jours, le temps de trouver les billets pour Ulan Bator (nous les avons obtenus sans problème, j'y reviendrai), c'est le temps qu'il m a fallu pour tomber malade. Sans gravité, heureusement, car le transmongolien met quand même 30 h pour relier Pékin à UB, et les chiottes ferment pendant 3 heures durant le changement de roues à la frontière sino-mongole (Erlian). 3 heures donc (parfois plus semble-t-il), de 21h à minuit durant lesquelles nous attendons sur le quai.
L'arrivée a UB a été un soulagement physique : air sec, pas plus de 25 degrés, et frisquet le soir (enfin, on sort les polaires, on ne les aura pas amenées pour rien).
Samedi 18 nous partons pour 14 jours de découverte à travers le désert de Gobi pour remonter vers les chutes d'Orkhon.
A bientot donc...